Mardi 7 juillet.
Nous roulons sur des routes désormais connues. Nous passons notre dernière nuit sous la tente dans un camping fermé. Ce soir-là nous avons du mal à trouver le sommeil… Dire que c’est déjà la fin. Des images, des pensées se bousculent dans nos têtes, nos esprits vagabondent de souvenirs en souvenirs. Nous nous souvenons de tous ces endroits qu’il nous a fallu mériter, de toutes ces récompenses, toujours à la hauteur de l’effort. Nous nous souvenons de l’hospitalité sincère et spontanée si souvent croisée sur notre route.
Partir pour un voyage au long cours, dans des
contrées le plus souvent reculées, progresser lentement, vivre au rythme du
soleil, des saisons, c’est un peu s’extraire du monde. Comment revenir sans se
faire avaler par la trivialité d’une vie bien réglée ? Comment être à la
hauteur des petits riens que le voyage nous apprend et qui changent la vie ?
Mercredi 8.
Au col de Crie nous sommes rejoints par Mael et Tristan, accompagnés d’Ambroise. Nous finirons donc à sept !
Les discussions vont bon train, les kilomètres défilent. Et voilà la dernière descente. En bas, une banderole se lève, annonciatrice du dernier hectomètre, mais surtout d’un formidable comité d’accueil. Nous arrivons, un peu hagards et très émus.
Champagne ! Mille mercis à tous pour cette belle surprise !
Nous roulons sur des routes désormais connues. Nous passons notre dernière nuit sous la tente dans un camping fermé. Ce soir-là nous avons du mal à trouver le sommeil… Dire que c’est déjà la fin. Des images, des pensées se bousculent dans nos têtes, nos esprits vagabondent de souvenirs en souvenirs. Nous nous souvenons de tous ces endroits qu’il nous a fallu mériter, de toutes ces récompenses, toujours à la hauteur de l’effort. Nous nous souvenons de l’hospitalité sincère et spontanée si souvent croisée sur notre route.
Mercredi 8.
Au col de Crie nous sommes rejoints par Mael et Tristan, accompagnés d’Ambroise. Nous finirons donc à sept !
Les discussions vont bon train, les kilomètres défilent. Et voilà la dernière descente. En bas, une banderole se lève, annonciatrice du dernier hectomètre, mais surtout d’un formidable comité d’accueil. Nous arrivons, un peu hagards et très émus.
Champagne ! Mille mercis à tous pour cette belle surprise !